Mazda reste une garantie en termes de fiabilité et souci du détail. Des qualités qui valorisent leurs produits, appartenant en fait à un segment supérieur à celui des généralistes. Au sommet de l’offre SUV, pour le moment, se trouve le CX-5 ; un véhicule qui prétend être polyvalent, pratique et confortable. En toute circonstance et pour toute utilisation. La liste des prix de la version 2021 du CX-5 commence à partir de 33 800 euros, pour l’édition Homura, il faut payer un peu plus de 36 000 euros.
Édition HomuraÉdition Homura
Le look du Cx-5 ramasser les lignes de Kodo qui appartiennent à la dernière génération de Mazda. C’est un cours de style dont l’objectif est de créer harmonie entre les proportions et les lignes, donnant à la vue un sentiment familier et satisfaisant. Le résultat est globalement positif : la carrosserie est agréable et dépourvu de virtuosité esthétique, pas ennuyant. Les intérieurs sont, au contraire, l’exemple habituel de rationalité et d’ergonomie. De nombreuses touches physiques ont été conservées et leur disposition est assez intuitive et facile d’accès. Cela simplifie les opérations en évitant les distractions pendant les phases de conduite. Le système de divertissement en vol a également été mis à jour, maintenant en Écran 10,25″. Les graphismes sont captivants et toujours clairement lisibles, il offre également des fonctionnalités de connectivité avancées. Lors de notre test, il n’a jamais montré d’incertitudes ou de ralentissements même après une utilisation intensive et continue dans le temps. Comme mentionné, en termes de connectivité, il dispose des dernières technologies telles que Apple Car Play et Android Auto, pour afficher les applications de téléphonie mobile répliquées sur l’écran de la machine.
Variante de normeVariante de norme
L’Édition spéciale Homura, objet de ce test, possède également une fonction écran frontal et un système Bose avec 10 haut-parleurs capable d’offrir une expérience de divertissement vraiment immersive et engageante. C’est vrai plante premium caractérisé par des basses pleines et des aigus cristallins; une joie pour ceux qui aiment voyager et en même temps se faire dorloter par leurs chansons préférées. L’édition Homura, plus sportive que le modèle traditionnel, se distingue également par lafinition noire exclusive qui embellit les jantes 19 , les coques de rétroviseurs et les vitres arrière dûment assombries.
Sous le capot le 2.0 CV Skyactiv-G essence avec 165 CV associé à la boîte de vitesses manuelle à six rapports. La structure fonctionne très bien : le moteur a un bonne élasticité et bonnes performances. Cependant, par rapport à la cylindrée, la puissance délivrée est faible, et en général la réserve de marche disponible n’est jamais particulièrement excitante. Pour profiter pleinement de son potentiel, il doit être utilisé à haut régime. Ce faisant, le CX-5 peut être apprécié pour sa dynamique de conduite plutôt raffinée et certainement supérieure à la plupart des VUS de son même segment.
Bonnes considérations également pour la boîte de vitesses manuelle à six rapports : la course du levier est de la bonne longueur, l’embrayage est bien calibré pour une utilisation polyvalente, et les embrayages et rétrogradages se font toujours en toute sérénité. Il s’agit d’un projet très bien exécuté qui est encore un référence pour sa catégorie. La dynamique de conduite est enrichissante : le châssis est très solide, la suspension est bien exécutée et la direction a d’excellentes capacités de communication. On est loin des meilleures applications sportives, certes, mais Mazda, en ce sens, se confirme une nouvelle fois. attentif aux demandes des automobilistes aussi plus demandant.
Basse astucieuse, la CX-5 s’exprime au mieux, surtout sur autoroute Lorsque la vitesse de croisière est atteinte, vous voyagez dans un environnement très bien insonorisé et assez confortable. Les systèmes d’aide à la conduite sont bien calibrés et peuvent restituer un plus grand sentiment de sécurité. La consommation, en revanche, n’est pas toujours positive. En usage mixte, la moyenne enregistrée par l’ordinateur de bord était 7/8l/100km. Ce n’est vraiment pas un super résultat. Dommage qu’il n’y ait pas eu de solution électrifiée qui, compte tenu de l’époque, aurait pu prolonger encore l’utilisation prévue du véhicule.
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