Je me gratte la tête avec Rainbow Six: Extraction. Ce FPS de science-fiction d’Ubisoft Montréal donne l’impression de tirer dans plusieurs directions, essayant de plaire à plusieurs foules. Il est marqué par des fioritures qui expriment beaucoup la passion qui y est consacrée, mais déçoit un peu là où c’est important. L’extraction est amusante, bien sûr, mais il est difficile d’ignorer ses problèmes clairs et présents.
Pour ceux qui ne sont pas au courant, Rainbow Six: Extraction est construit sur la base d’un FPS multijoueur préexistant, plutôt excellent, appelé Rainbow Six: Siege – un jeu qui a attiré une communauté inconditionnelle grâce à une expérience basée sur les personnages engageante qui ne te tient pas du tout la main. Une balle dans la tête ou quelques balles dans la poitrine et tu es mort ; un piège mal placé ou un coup d’œil rapide loin d’une porte lors d’une mission tendue et le jeu est terminé.
Ce qu’Ubisoft Montréal a essentiellement fait avec Extraction, c’est de prendre les bases de Siege – le jeu de tir, le moteur et certains des opérateurs – et de construire un nouveau jeu autour de lui. Un jeu sans le PvP, mais avec un tout nouveau système de personnalisation, plusieurs lieux distincts avec de nombreux sites contaminés, des kits d’opérateurs retravaillés et des extraterrestres. Si rien d’autre, cela garantit que si vous vous sentiez chez vous en regardant dans les coins avec Siege, vous vous sentirez chez vous ici.
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